L’isolation thermique des bâtiments est devenue une pratique courante ces dernières années. Elle permet de réduire la consommation d’énergie et d’améliorer le confort thermique à l’intérieur des bâtiments. Elle contribue ainsi à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, en limitant les besoins en chauffage et en climatisation. Voici un article qui met en avant la commodité et l’aspect économique de ce type d’isolation.
Les avantages de l’isolation thermique
L’isolation thermique présente de nombreux avantages, tant sur le plan économique que sur le plan environnemental. Elle permet de faire considérablement baisser la consommation d’énergie, en limitant les pertes de chaleur en hiver et les gains de chaleur en été. Il en résulte une diminution des besoins en chauffage et en climatisation, ce qui se traduit par une baisse significative des factures d’énergie.
Une isolation thermique réalisée par un professionnel qualifié, comme celui du site https://www.votre-habitation.com/energie/isolation/, améliore également le confort thermique à l’intérieur des bâtiments. Elle permet de maintenir une température agréable et constante, quelle que soit la saison.
Les différents types d’isolants thermiques
Il existe une multitude d’isolants pour les maisons, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients. Voici les principaux types d’isolants que vous trouverez sur le marché :
- Le verre cellulaire : c’est un matériau incombustible, étanche et résistant aux insectes. Son prix dépend de l’épaisseur, qui varie de 10 € à 50 €/m² en moyenne. Il est adapté aux surfaces régulières comme les toits plats, les murs et les dalles.
- La laine de verre : c’est l’isolant le plus utilisé en rénovation, en raison de son rapport qualité/prix (environ 5 €/m²). Elle permet d’isoler les murs et les combles thermiquement et phoniquement, à l’intérieur comme à l’extérieur. Cependant, elle est sensible à l’humidité.
- La laine de roche : ce matériau léger et ininflammable s’adapte à de nombreuses conditions, mais sa mise en œuvre nécessite une bonne ventilation tout au long des travaux et même après. Les prix oscillent entre 5 et 10 €/m² pour une épaisseur de 100 mm.
- La perlite : c’est un matériau naturel, incombustible, qui résiste aux rongeurs et aux bactéries. Son principal inconvénient est son prix élevé, environ 190 €/m², hors frais de pose.
- Le chanvre : il s’agit d’une laine naturelle imputrescible et antifongique, mais inflammable. Il doit être combiné à des produits ignifuges pour optimiser sa durabilité. Cet isolant coûte approximativement 15 €/m² pour une épaisseur de 100 mm.
- La fibre de bois : ce matériau s’utilise pour isoler les planchers, les murs et les toitures. Les panneaux d’une épaisseur de 40 mm coûtent environ 7 €/m² et 20 €/m² pour une épaisseur de 100 mm.
- La peinture isolante : cette peinture novatrice est aussi efficace que 20 cm de laine de roche. Elle résiste aux moisissures et salissures ainsi qu’aux intempéries et réfléchit les rayons solaires pour minimiser les déperditions de chaleur. En revanche, elle est coûteuse, environ 35 €/L.
- La brique monomur : c’est un matériau porteur et isolant à la fois, résistant à l’eau et au feu. Elle garantit un bon compromis en matière d’isolation.
